Si l’opération rend solennelle la remise d'un "permis" et s'intègre dans l'APER (Attestation de Première Education à la Route), ce qui est une bonne chose, elle place à égalité la prévention des risques liés à la circulation, avec la promotion du vélo, et ce aux dépens des utilisateurs motorisés de la route et donc des automobilistes.
Une démarche pédagogique particulièrement dangereuse pour l’éducation future et globale des enfants à la sécurité routière.
Petit exemple, apprendre que parcourir à vélo un Paris – Marseille n’émet pas de CO2 (ce qui est tout à la fois faux et irréaliste) alors que la voiture en rejette 180 kilos n’apporte strictement rien en matière de sécurité, mais installe un climat particulièrement clivant pour l'apprentissage de la sécurité routière, assurément une mauvaise chose.
L'une des composantes de l'opération est enfin une médiatisation systématique, notamment par la presse locale du travail de l'association, travail certes pédagogique, mais aussi de communication.
Une démarche pédagogique particulièrement dangereuse pour l’éducation future et globale des enfants à la sécurité routière.
Petit exemple, apprendre que parcourir à vélo un Paris – Marseille n’émet pas de CO2 (ce qui est tout à la fois faux et irréaliste) alors que la voiture en rejette 180 kilos n’apporte strictement rien en matière de sécurité, mais installe un climat particulièrement clivant pour l'apprentissage de la sécurité routière, assurément une mauvaise chose.
L'une des composantes de l'opération est enfin une médiatisation systématique, notamment par la presse locale du travail de l'association, travail certes pédagogique, mais aussi de communication.